L’idée principale est de limiter au maximum les périodes de jeûne, dans l’idéal en dessous de 6h d’affilée. Les périodes de jeûne chez le cheval favorisant l’apparition de problèmes digestifs ou des problèmes comportementaux. On peut utiliser pour cela des systèmes de slow-feeding ou bien fractionner la distribution de la ration.
En cas de distribution fractionnée, la ration la plus importante sera celle de la nuit, pour occuper le cheval durant toute cette période.
Notons que pour un cheval sportif ou de course, il faut également éviter le jeûne juste avant l’échéance, la recherche préconise de distribuer a minima 1 à 3 kg de foin dans les heures précédant l’effort, ce qui n’impacterait pas la performance sportive tout en limitant les risques pour la santé du cheval.
Crédit photo : @Croix du Sud x @Horse Development